Ça a été hyper évident que sur ces titres-là, ça allait être du français. On découvre effectivement une autre Irma, celle qui s'autorise à être féminine. Ça fait du bien de lâcher prise? Ça fait du bien. Je sais que je me suis beaucoup construite en opposition à cette féminité, parce que quand j'étais petite, je me disais que tout ce qui était lié à la féminité allait être pour moi une source de faiblesse. En grandissant, je me suis rendu compte que c'était la pire chose que je pouvais me dire parce que ma féminité, c'est ma force. De découvrir ça et de bosser au Cameroun aussi, avec des artistes qui m'ont permis de révéler ça, c'était magnifique. Vous dites des choses très fortes dans Douala Paris. Vous racontez le fait que vous êtes étrangère ici, mais étrangère là-bas aussi. Où se trouve votre chez-vous? Invention. Sur son étonnant vélo snowboard, un Irlandais à la conquête de la Bretagne. À la fin de la chanson, je finis par dire que c'est en moi. C'est un peu tout ce qu'on essaie de trouver, tous, dans ce monde assez fou dans lequel on vit. Cette espèce d'ancrage intérieur qui est très difficile, qui part et qui vient.
Une peine que j'accepte aujourd'hui, et j'essaye de rebâtir ma vie professionnelle malgré les enjeux et obstacles. » En 2019, les autorités ont aussi perquisitionné à Montréal-Nord chez Deniz Hadjiev, PDG de Bitcoin Generation, puis jusqu'à Calgary chez le conseiller financier Frederick Da Silva. En entrevue avec La Presse, Amyot l'a qualifié de « très bon ami ». "Douala Paris", le retour aux sources d’Irma. Au téléphone, Frederick Da Silva a refusé de commenter. La Presse n'a pas été en mesure de joindre Deniz Hadjiev. Si vous avez de l'information sur des manipulations boursières, les paradis fiscaux ou l'évasion fiscale, contactez notre journaliste à ou au (1) 438 396-5546 (Signal, cellulaire).
Je ne sais pas si elle a l'espoir secret que cela puisse changer, je n'y ai pas trop pensé. Ce que j'aime chez elle, c'est qu'elle vit l'instant. En paraissant digérer qu'il soit marié. Chez Emmanuel Mouret, il y a beaucoup de choses que l'on dit et qui sont l'inverse de ce qu'on pense. À jouer, c'est génial. Il y a tellement de moments, dans la vie, où il est impossible de dire ce qu'on a sur le cœur. Parce qu'il faut se préserver, préserver l'autre, protéger une histoire. Il y a de la tendresse dans ce film. Et de la mélancolie? Aussi. Ça fait peur non officiel. Vous ne trouvez pas que c'est mélancolique, l'amour? Des gens, peut-être inconscients, le vivent comme un acquis. On rencontre quelqu'un, on s'aime et ça y est, ce serait pour toujours? Ce n'est pas très bon signe, je crois. On finit par tomber de haut. En revanche, si l'on est un spécialiste des sentiments, comme c'est le cas d'Emmanuel Mouret, on peut se dire que les moments que l'on traverse avec l'autre sont exceptionnels. Tout est histoire de moment, dans la vie.